Entre le polar et le conte fantastique, SUZHOU RIVER est une magnifique histoire d’amour et d’obsession intemporelle, évoquant tour à tour Hitchcock, Kieslowski, Wong Kar-wai…
Le chef-d’oeuvre qui a révélé Lou Ye (Nuit d’Ivresse Printanière, Une Jeunesse Chinoise) restauré en 4K est enfin disponible dans une EDITION COLLECTOR LIMITEE COMBO BLU-RAY + DVD incluant un livret exclusif de 32 pages (entretien inédit avec Lou Ye par Wang Muyan) et une carte postale collector.
Le film a été restauré en 4K, sous la supervision de Lou Ye lui-même, en partant du négatif 16 mm A-B d’origine. Le son a également été masterisé en 5.1 et les bruitages recréés.
A ce jour toujours interdit de diffusion en Chine, SUZHOU RIVER est tour à tour un hommage à la ville de Shanghai dont Lou Ye est originaire, un clin d’oeil au film noir et à la Nouvelle Vague, et surtout une démonstration de l’extraordinaire et persistante capacité de Lou Ye de se libérer de toutes contraintes techniques et académiques, qui fait de lui un cinéaste rare et unique.
EN VENTE DANS LES POINTS DE VENTE HABITUELS A PARTIR DU 9 JUILLET 2024 (PVC : 29 euros)
EN PRE-COMMANDE ICI JUSQU’AU 28 JUIN UNIQUEMENT AU TARIF EXCEPTIONNEL DE 25 EUROS (frais de port inclus)*
BONUS : “A propos de SUZHOU RIVER” par Tony Rayns (32 mn) / Court-metrage “IN SHANGHAI” de Lou Ye (16 mn) / Bande-annonce // Livret exclusif de 32 pages (entretien inedit avec Lou Ye par Wang Muyan) / Carte postale collector
BLU-RAY : ZONE B – BD 50 – 1080p25 – DUREE FILM 1H23 – COULEUR – SON DTS-HD 5.1
DVD : ZONE 2 – DVD 9 – PAL – DUREE FILM 1H23 – COULEUR – SON DOLBY DIGITAL 5.1
* Envoi en France metropolitaine uniquement, a raison d’un Combo par foyer (meme nom, meme adresse), pour tout achat en ligne sur cette page effectue le 28 juin 2024 au plus tard. Le combo sera expedie la semaine du 1er juillet 2024.
Découvrez le site dissidenz.com consacré à la production, aux ventes internationales, aux projets spéciaux et plus encore…
Tandis que nos activités de distribution, tous supports, restent hébergées sur le site dissidenzfilms.com, un site international, en anglais, dédiées à des activités sortant de ce cadre, voit le jour, afin d’atteindre un public plus large !
Ne manquez pas le 6 octobre prochain, en avant-première et en compétition du Festival de la Fiction et du Documentaire Politique de La Baule (dont l’édition cette année est présidée par Gabriel Le Bomin), le film documentaire LOVE IT WAS NOT de Maya Sarfaty, qui, à travers l’histoire singulière, durant la Seconde Guerre Mondiale, d’Helena Citron, détenue à Auschwitz , et de Franz Wunsch, l’officier autrichien SS éperdument amoureux de sa prisonnière, questionne les zones grises de la nature humaine.
Helena survivra au camp de la mort et émigrera en Israel. Jugé pour crimes de guerre, trente ans plus tard, Franz Wunsch, qui n’aura cessé de croire en leur histoire d'”amour” et parvient à retrouver la trace d’ Helena, demandera à cette dernière de venir témoigner en sa faveur à Vienne.
Le film sort en salles le 11 octobre.
Pour en savoir plus, cliquez ici.
Quoi de neuf cet hiver ? Retrouvez au cinéma le 28 décembre le chef-d’oeuvre de Lou Ye, Suzhou River, à la croisée de Hitchcock et Wong Kar-wai, dans une magnifique version restaurée en 4K, présentée en début d’année au Festival de Berlin puis au festival Il Cinema Ritrovato organisé par la prestigieuse Cinémathèque de Bologne. L’occasion de (re)découvrir le film qui a révélé le réalisateur de Une jeunesse chinoise et Nuit d’ivresse printanière.
Découvrez également au cinéma dès à présent, lors de séances événementielles, et en DVD le 8 décembre, le film remarquable de Radu Ciorniciuc, Acasa, My Home (L’adieu au fleuve), primé dans de nombreux festivals internationaux -de Sundance (où il a remporté le prix de la Meilleure Photographie) à Busan, en passant par New York, ou plus près de nous, au Cinémed de Montpellier (Prix Ulysse) ou encore au Festival Ciné Junior (où il a remporté le Grand Prix).
Plus d’informations prochainement.
“L’équipe Christo et Jeanne-Claude réalisera L’Arc de Triomphe empaqueté (Projet pour Paris, Place de l’Étoile-Charles de Gaulle), selon le vœu de Christo qui souhaitait la poursuite du projet après sa disparition, survenue le 31 mai 2020.
Visible pendant 16 jours, du samedi 18 septembre au dimanche 3 octobre 2021, L’Arc de Triomphe empaqueté nécessitera 25 000 mètres carrés de tissu recyclable en polypropylène argent bleuté et 3000 mètres de corde rouge de la même matière.”
Comme tous les projets artistiques de Christo et Jeanne-Claude, L’Arc de Triomphe empaqueté sera entièrement autofinancé grâce à la vente des œuvres originales de Christo : collages, dessins de ce projet et d’autres ainsi que des maquettes, œuvres des années cinquante-soixante et des lithographies. Il ne bénéficiera d’aucun autre financement public ou privé.
Pour en savoir plus, cliquer ici.
Puisque tout le monde y va de sa tribune, de son coup de gueule, de son chant du cygne, je vais moi aussi m’essayer à cet exercice (même si on connaît la chanson), dans un souci de représentativité – parité oblige.
Et si d’aventure, le quota de femmes était déjà dépassé, je pourrais toujours me réclamer de nombreuses autres minorités, visibles et invisibles, dicibles ou indicibles, comme celle qui continue d’aimer les films de Jean-Claude Brisseau en 2020 ou celle qui ne distribue que des films non agréés1, et ceci, quoiqu’il arrive, en toute amitié et solidarité pour ceux et celles qui partagent vraisemblablement avec moi l’amour du Septième Art et le plaisir de découvrir ou redécouvrir un film en salles !
Plongée dans les images depuis toute petite (un peu comme le personnage de la série Dream On, Martin Tupper), et en particulier le cinéma américain des années 40, 50 et 60, ma fascination pour le cinéma m’a rapidement incitée, une fois étudiante, à créer de toutes pièces une revue étudiante de 4 pages dédié aux sorties culturelles (cinéma, théâtre, littérature, musique – 1 page par rubrique), pour pouvoir nouer avec les établissements culturels locaux des partenariats : s’agissant de ma rubrique (le cinéma), ils nous donnaient des places en échange de critiques – positives ou négatives, peu importe –, apparaissant dans la revue. Voilà, je pouvais désormais aller voir un maximum de films en salle, sans dilemme budgétaire. Et c’est ainsi que j’ai diversifié mon bagage cinématographique jusque-là essentiellement cantonné aux films américains. A moi désormais les cinémas du monde et… le cinéma français ! 😉
Adolescente, les sorties au cinéma en famille étaient souvent une fête pour moi, d’autant que les films choisis étaient toujours spectaculaires : Spartacus ou la trilogie Musashi toute l’après-midi au Max Linder Panorama (avec entractes), L’Empire contre-attaque ou L’ours au Kinopanorama, ou bien les films de wu xia pian au Ciné Orient de la rue Dunois, sans oublier le traumatisme vécu après avoir été refoulée d’un cinéma car je n’avais pas l’âge requis pour aller voir Blade Runner…
Etudiante, je tenais ma vengeance : avec ma revue culturelle, je pouvais désormais aller voir les films de façon illimitée et apprécier le plaisir solitaire du visionnage sur grand écran – je fais partie de cette catégorie de spectateurs qui vont découvrir les films seuls dans… 80% des cas (et de surcroît apprécient les séances aux heures creuses) !
Plus tard, lorsque j’ai commencé à travailler, je me suis rabattue le week-end sur les séances de 9h de l’UGC Ciné Cité Les Halles, plus abordables et confortables pour la spectatrice assidue que j’étais : je me rappelle encore de la gifle (et de la nausée matinale) en découvrant Breaking The Waves ou Ceux qui m’aiment prendront le train. Puis avec les systèmes de carnets indépendants avec des tarifs réduits utilisables dans plusieurs salles, j’ai commencé à fréquenter les salles de cinéma art et essai : Henry, portrait d’un serial killer à l’Espace Saint Michel (nous étions deux dans la salle et l’autre spectateur ressemblait au protagoniste du film…), Persona au Saint André des Arts, Le miroir au Champo, Les amants du cercle polaire au Latina, Epouses et concubines à la Pagode, Chomsky, les médias et les illusions nécessaires au République, Le mariage des moussons au Studio 28… mais aussi Les Contes de la lune vague après la pluie à la Cinémathèque des Grands Boulevards ou La vie comme ça au Forum des Images… J’ai conservé chacun de mes tickets de cinéma !
Encore plus tard viendront Midnight (La baronne de minuit), en plein air au Parc Monceau, ou Pour rire !, au bord du Canal Saint Martin, dans le cadre de « Cinéma au clair de lune », Les larmes amères de Petra von Kant au Centre Pompidou, Une part du ciel dans un camion mobile à la Fête de l’Humanité, Des trous dans la tête ! au Théâtre de l’Odéon… Il est vrai qu’à Paris, ce ne sont pas les occasions de voir les films sur grand écran qui manquent ! Assurément un privilège.
Beaucoup plus tard (ou non), grâce à la chance de pouvoir voyager durant les festivals (ou non), j’ai continué à fréquenter les salles obscures partout où je vais, parfois même davantage pour le plaisir d’aller en salle que pour le film lui-même (car la salle est à mon sens aussi importante que le film) : comment en effet rester insensible à l’atmosphère extraordinaire de salles tour à tour mythiques, uniques et insolites que sont le Friedrichstadt Palast ou le Kino International de Berlin, le Castro Theatre de San Francisco, l’Electric Cinema de Londres, le Cine de Chef de Séoul et Busan, les Galeries de Bruxelles, le Ciné Lumière de Taipei, le micro-cinéma Uplink de Shibuya à Tokyo (doté de 40 sièges), le micro-multiplexe CGV au sein de l’hôtel Liberty Central Citypoint de Saigon (10 salles pouvant contenir 10 à 20 personnes), ou encore le bar Bear’s Place de Bloomington près de Chicago (investi tous les mois par Ryder Films qui y organise des projections en mode cabaret, où l’on peut commander à manger et à boire à chaque changement de bobine… oui, vous avez bien lu : du 35mm !).
Aujourd’hui la plupart des salles sont fermées un peu partout dans le monde, pandémie oblige.
Je continue à regarder les films en DVD ou en streaming. Mais oui, je ne vais tout de même pas faire la grève du visionnage ! J’aime toujours le cinéma, et bien que j’aie une nette affection pour le cinéma sur grand écran, je ne vais pas me priver du plaisir de regarder un film, « sur tous supports connus ou inconnus à ce jour », y compris sur un écran de 15 pouces, même si l’expérience est évidemment différente.
Et quand les salles rouvriront, non seulement dans le respect des protocoles sanitaires en vigueur et en tenant compte de l’évolution de la pandémie – chiffres à l’appui –, je retournerai en salles.
Ce n’est pas parce que j’ai regardé des films à la télévision, en VHS, DVD, DviX, en vidéo à la demande, en streaming ou sur Youtube (!) que je ne retournerai pas au cinéma et n’éprouverai pas le plaisir que j’ai toujours éprouvé !
Cela dit, soyons honnêtes : jamais je n’aurais pu découvrir Highway avec Alia Bhatt et Randeep Hooda, drame indien insortable sur le marché français, Night’s Tight Rope de Yukiko Mishima, film de genre japonais d’une réalisatrice inconnue dont la sortie aurait été tout aussi kamikaze en France, ou encore l’hilarante comédie sud-coréenne All About My Wife de Min Kyu-dong, sans les plateformes de streaming ou mes déplacements en avion (et du coup sur un écran de moins de 20 cm !). Mais également un certain nombre de séries ou mini-séries d’excellente facture, toutes nationalités confondues et toutes plateformes confondues : Stranger, Collateral, Unbelievable, House of Cards (la version britannique), Braquage à la suédoise, Criminal Justice etc.
Et jamais je n’aurais pu découvrir en salles Death in the Land of Encantos de Lav Diaz (9h03) si je ne l’avais pas distribué moi-même ! LOL
En revanche, je ne retournerai pas au cinéma si les protocoles sanitaires ne sont pas respectés ou surtout en mesure d’être respectés (par les lieux ou par les spectateurs), ou si la situation ne le permet pas au regard des faits scientifiques (que l’on peut éventuellement prendre le temps de fact-checker en lisant la presse – généraliste et spécialisée – étrangère, en cas de défaillance des sources locales…).
Parce que ma santé et celle des autres prévalent, quand bien même ma santé économique en souffre, en tant que distributrice et productrice de films. C’est aussi simple que cela.
Oui c’est difficile pour tout le monde (en particulier les restaurants, bars, discothèques, hôtels, maisons d’hôtes, gîtes etc.) mais certainement aussi pour ceux qui restent ouverts et pour lesquels les conditions de travail sont peut-être encore pires que pour ceux qui sont obligés de fermer. Et cela ne concerne pas que les commerces, mais aussi les salariés, ou pire encore non-salariés, de tous les secteurs.
Tout le monde (ou presque) est touché, c’est le principe-même d’une pandémie. Mais nous sommes vivants. Et résister, c’est créer.
Vous l’aurez compris, ce billet aurait pu tout aussi bien s’intituler : ceci n’est pas un coup de gueule.
BQT
Parce que les stéréotypes sont plus que jamais légion dans le cinéma mais aussi dans la vie courante, Asia Etcetera se propose d’apporter un éclairage sur les cultures asiatiques, à travers le cinéma entre autres média. Il ne s’agira cependant en l’occurrence nullement de retrouver des critiques de films mais plutôt de découvrir des aspects que l’on ne connaissait pas nécessairement de la société ou l’histoire d’un pays du continent asiatique, à travers une oeuvre, qu’elle soit cinématographique, littéraire, musicale, artistique ou autre.
Asia Etcetera est un magazine en ligne bilingue français/anglais, qui se destine à tous les publics et se nourrit de contributions bénévoles provenant aussi bien d’experts que de simples aficionados avec néanmoins une expérience “terrain”, vécue, légitime, et un objectif commun : partager ses connaissances, réflexions et passions pour une contrée que l’on n’a pas fini de définir. Dans “Asia Etcetera”, le plus important c’est en effet “Etcetera” !
Le magazine étant en work-in-progress, toutes les suggestions et contributions sont les bienvenues, tandis que de nouvelles rubriques et fonctionnalités sont en cours de lancement.
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Ne manquez pas la performance-concert exceptionnelle de GOOD qui suivra la projection du film lundi 18 mars 2019 à 20 heures au Centre Pompidou à Paris dans le cadre du festival Cinéma du Réel : conçue par Patrick Mario Bernard et interprétée par ce dernier et Rodolphe Burger, la performance traduit la rencontre créative d’un artiste pluridisciplinaire (Patrick Mario Bernard) avec un artiste transversal (Rodolphe Burger).
En savoir plus sur le film : www.dissidenzfilms.com/good
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Soutenir l’édition DVD à venir du film (exclusivement disponible ici) : https://www.indiegogo.com/projects/dvd-good-de-patrick-mario-bernard-tirage-limite#/
Par ordre alphabétique, de façon totalement subjective (et éventuellement évolutive) et délibérément non exhaustive :
EN SALLES
Amour de Michael Haneke : 7,5/10
Anatomie d’une chute de Justine Triet : 7/10
An Elephant Sitting Still de Hu Bo : 7/10
Au-delà des montagnes de Jia Zhang-ke : 6/10
Bacurau de Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles : 6,5/10
Barbie de Greta Gerwig : 6/10
Belle de Mamoru Hosoda : 5,5/10
Black Coal Thin Ice de Diao Yinan : 8/10
Borgman d’Alex Van Warmerdam : 7/10
Cafe Society de Woody Allen : 5/10
Chambre 212 de Christophe Honoré : 6,5/10
Cold War de Pawel Pawlikowski : 8/10
Decision to Leave de Park Chan-wook : 5,5/10
Deux jours, une nuit de Jean-Pierre et Luc Dardenne : 6/10
Drive My Car de Ryusuke Hamaguchi : 7/10
Eat Sleep Die de Gabriela Pichler : 6,5/10
First Cow de Kelly Reichardt : 6,5/10
For Those In Peril de Paul Wright : 7/10
FLA de Djinn Carrénard (jamais sorti…) : 7/10
Frances Ha de Noah Baumbach : 5,5/10
Gone Girl de David Fincher : 6/10
Kaili Blues de Bi Gan : 7/10
Comancheria de David Mackenzie : 6/10
Coupez ! de Michel Hazanavicius : 7/10
Halte de Lav Diaz : 7/10
Hippocrate de Thomas Lilti : 6/10
I Used To Be Darker de Matt Porterfield : 6,5/10
Inherent Vice de Paul Thomas Anderson : 5,5/10
Ixcanul de Jayro Bustamante : 5,5/10
L’arbre aux papillons d’or de Pham Thien An : 6,5/10
L’Economie du Couple de Joachim Lafosse : 6/10
L’Expérience Blocher de Jean-Stéphane Bron : 6/10
L’Inconnu du Lac d’Alain Guiraudie : 7,5/10
La loi du marché de Stéphane Brizé : 6/10
La Vénus à la fourrure de Roman Polanski : 5/10
La vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche : 7/10
Le géant égoïste de Clio Barnard : 7/10
Le règne animal de Thomas Cailley : 7,5/10
Les Anarchistes d’Elie Wajeman : 3/10
Les Combattants de Thomas Cailley : 6/10
Les Crimes du Futur de David Cronenberg : 5,5/10
Les Eternels de Jia Zhang-ke : 6,5/10
Les Misérables de Ladj Ly : 7,5/10
Les Oiseaux de passage de Ciro Guerra et Cristina Gallego : 8,5/10
Les Salauds de Claire Denis : 5,5/10
Leviathan d’Andreï Zviaguintsev : 7/10
Magic in the Moonlight de Woody Allen : 5,5/10
Maryland d’Alice Winocour : 4,5/10
Memoria d’Apichatpong Weerasethakul : 6/10
Midsommar d’Ari Aster (director’s cut) : 8/10
Mustang de Deniz Gamze Ergüven : 6,5/10
Nymphomaniac vol. 1 de Lars Von Trier : 6,5/10
Nymphomaniac vol. 2 de Lars Von Trier : 5,5/10
Ondine de Christian Petzold : 8,5/10
Oppenheimer de Christopher Nolan : 7,5/10
Parasite de Bong Joon-ho : 7/10
Party Girl de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis : 6/10
Perdrix d’Erwan Le Duc : 6/10
Personal Shopper de Olivier Assayas : 6/10
Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma : 5,5/10
Rester Vertical d’Alain Guiraudie : 6,5/10
Room 237 de Rodney Ascher : 6,5/10
Saint Laurent de Bertrand Bonello : 6,5/10
Séjour dans les Monts Fuchun de Gu Xiaogang : 8,5/10
Sicario de Denis Villeneuve : 1/10
Sils Maria de Olivier Assayas : 6,5/10
Snowpiercer de Bong Joon-ho : 6,5/10
Suzanne de Katell Quilévéré : 5/10
Taxi Téhéran de Jafar Panahi : 7/10
Tel père, tel fils de Hirokazu Kore-eda : 7/10
The Bling Ring de Sofia Coppola : 4/10
The Favorite de Yorgos Lanthimos : 5,5/10
The Grandmaster de Wong Kar-wai : 3/10
The Handmaiden de Park Chan-wook : 6/10
The Lobster de Yorgos Lanthimos : 6,5/10
The Lunchbox de Ritesh Batra : 7/10
The Substance de Coralie Fargeat : 6,5/10
Tour de France de Rachid Djaïdani : 3,5/10
Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence de Roy Andersson : 6/10
Un Héros d’Asghar Farhadi : 7/10
Une affaire de famille de Hirokazu Kore-eda : 7,5/10
Una Noche de Lucy Mulloy : 6,5/10
Vortex de Gaspar Noé : 7/10
Whiplash de Damien Chazelle : 7/10
X-Men: Days of Future Past de Bryan Singer : 7/10
EN VIDÉO
L’affaire Cicéron (Five Fingers) (1952) de Joseph L. Mankiewicz (Carlotta Films) : 8,5/10
Le détroit de la faim (Kigakaikyô) (1965) de Tomu Uchida (Wild Side) : 7/10
Le Petit Fugitif (Little Fugitive) (1953) de Ray Ashley, Morris Engel et Ruth Orkin (Carlotta Films) : 7/10
Mon homme Godfrey (My Man Godfrey) (1936) de Gregory La Cava (Wild Side) : 7,5/10
Tomboy (2011) de Céline Sciamma (Pyramide Vidéo) : 6,5/10
Une jeune fille à la dérive (Hikô Shôjo) (1963) de Kirio Urayama (ED Distribution) : 6,5/10
Soutenez le projet d’édition DVD et Blu-Ray du chef-d’oeuvre de Lav Diaz, DEATH IN THE LAND OF ENCANTOS, via crowdfunding sur kickstarter !
Il s’agit de la seule édition DVD/BRD au monde (avec sous-titres français et anglais), qui plus est restaurée et remasterisée à partir des éléments d’origine.
Le crowdfunding s’apparente ici en fait à un pré-achat du DVD ou du Blu-Ray, qui sera exclusivement disponible par ce biais (vous ne les trouverez donc pas dans les points de vente habituels, dont les conditions commerciales standard sont inadéquates par rapport au financement de ce projet d’édition).
Seront ainsi disponibles en pré-achat :
- L’édition DVD (3 disques) pour 29 euros
- L’édition Blu-Ray (3 disques) pour 39 euros
- L’édition Blu-Ray (3 disques) en édition limitée (10 exemplaires numérotés et personnalisés par Lav Diaz, voir photo ci-dessous) pour 150 à 250 euros
Plus d’informations sur la page Kickstarter du projet : cliquer ici